mercredi 7 septembre 2016

Interview de Nadine Virly par Edoardo Secchi:

" Découverte de la sculpteuse Nadine Virly "



Jean-François Caracci nous fait rentrer dans les secrets d'un marchand d'art international et nous présente la sculpteuse Nadine Virly...


Nadine Virly quelles sont vos créations?

Mes créations parlent d' êtres d'un autre temps, d'autres dimentions,d'anciennes civilisations perdues, rêvées et à redécouvrir. J'aime mêler les genres, les femmes sont tour à tour chamanes, fées, magiciennes, anges, déesse, sages ou sauvages, démons pyties.... enfin toutes reines de leur monde. Les hommes, mythologique, guerriers, mystiques, héros. Mes animaux sont fantastiques et chimériques. Enfin, des univers hors normes, mi humain/mi animal, surnaturels et spirituels ou se côtoie noblesse et sauvagerie. L'ordre et la liberté.



Nadine Virly l'art vous permet de vous réaliser vous même?

L'art me permet effectivement d'exprimer qui je suis librement. Il y a une liberté d'exprésssion en dehors des contraintes techniques. Je met à nu mes univers intérieurs, mes archétypes, ma vision du monde. Toujours en quête, en recherche de comment inscrire mes visions, mes ressentis dans la matière/ C'est assez dévorant et impétueux chez moi ce besoin de créer.





Nadine Virly quels sont vos projets, vos envies?

J'aimerai avoir plus de temps pour créer car j'ai énormément d'idées en gestation. Je ne souhaite plus me contenter de créer des êtres mais des univers entier, enfin d'agrandir l'échelle et le format aussi de travailler avec d'autres matériaux.. J'ai aussi des projets de réalisations avec d'autres personnes, des collaborations artistiques, cela me tiens à cœur, des projets de performances en direct avec le public entre autre. Allier les mots à la forme.



Nadine Virly pensez vous comme Jean-François caracci, marchand d'art international, que l'art révèle une capacité enfouie/oublier de l'Homme à Créer ?

Effectivement, l'art révèle la capacité de l'homme à créer. A sortir des connaissances de lui même, a ne pas se contenter de son acquis et de ce qui se fait ou ne se fait pas, à repousser ses limites, a s'affranchir des images stéréotypés, enfin à se découvrir lui même, de se mettre à jour a écouter sa voix intérieure en quelque sorte.

https://www.edilivre.com/catalog/product/view/id/782746/s/grande-loge-de-l-art-255f26e6de/category/1566/#.V9A7949OLb0

vendredi 26 août 2016

Interview de Jean-François Caracci par Clara Doïna Schmelck, journaliste franco-roumaine :


" Caracci ou l'Art sous le Sceau du Secret "

Mai 2014

Interview de Jean-François Caracci pour une Agence de Presse & Médias: Intégrales Productions.

"Jean-François Caracci est un de ces rares entrepreneurs culturels dont la destinée est profondément liée à l’Europe et à l’art.


Le jeune homme nous reçoit à la terrasse du Purple, le bar de l’hôtel « Le collectionneur » rue de Courcelles. « Un lieu qui va de soi », sourit-il, haussant les yeux au ciel. A Trente trois ans, Caracci vient de voir sa collection estimée à plus de dix millions d’euros. Jean-François parle vite, d’un ton vif, débitant en cinq minutes plus de noms propres qu’il n’y a de bulles dans un Perrier-menthe.



 Né en Roumanie, héritier par adoption d’une lignée de mécènes et d’artistes qui remontent au Quattrocento, l’enfant grandit entre la Sicile et le midi de la France.  » Un des berceaux de la culture européenne » insiste t-il, dans un mouvement d’emphase.
Fasciné par le glorieux destin de ses aïeux d’adoption, il se rêve très tôt en Laurent de Médicis. Mais son père adoptif entend l’assoir dans l’ombre de ses holdings et de ses coteries, et le prie de s’inscrire illico presto en master « Affaires Internationales ». Quand l’adolescent lui annonce son désir de « chercher Dieu dans l’art », le père le menace de le déshériter. Ce sera le procès. L’art des machinations ; avec des chefs de la mafia sicilienne, des maîtres de loges maçonniques et des émissaires du Vatican à l’intérieur. En 2005,  toute la presse quotidienne du bassin méditerranéen s’était délectée de ce récit pittoresque. Le fils illégitime a finalement fait tomber le pater.
 

Fils ingrat, enfant maudit, il s’en remet à la grâce de Dieu. C’est décidé, Jean-François Caracci sera collectionneur, mécène, théoricien à ses heures. A l’instar d’un Léonard de Vinci qui cherchait, sous chaque tableau, la ligne flexueuse, invisible et soudaine, Jean-François explique qu’il veut sonder « l’algorithme de Dieu » qui se cache derrière chaque belle création.  Les voyages à travers toute l’Europe s’enchaînent. En moins de dix ans, des centaines d’oeuvres seront frappées du sceau de la double lune noire, un symbole alchimiste qui remonte à l’Antiquité dace.
Quand on lui demande quelle est la stratégie de communication qui a contribué à un succès si rapide, il recule sa chaise. Moins par timidité que par culture. L’orphelinat, la mafia, la franc-maçonnerie, la justice : autant d’environnements hétéroclites qui ont en toutefois en commun d’être des lieux où l’on apprend à ne pas se faire remarquer.  Il fuit les galeries et les galas. A la presse, Caracci se confie peu.
 
« Tout ce qu’il faut, c’est cibler les personnes influentes. La communication, pour ainsi dire, c’est de l’orfèvrerie », argumente t-il, convoquant les Anciens. En amont, Jean-François Caracci collabore avec des artistes roumains tels que Melvin Barros, le Andy Warhol de la mer Noire, ou encore le célèbre Mihaescu Razvan. En Italie et en France, il multiplie les opérations de visibilité avec les politiques, qu’il entend sensibiliser à l’art. Des personnalités, parfois controversées, à l’instar de Silvio Berlusconi, lui commandent des tableaux.  La ministre Michèle Alliot-Marie, pour sa part, a craqué pour un portrait d’elle réalisé par le peintre Raymond Jusczak.
Persuadé que le buzz ne fait pas le network, cet entrepreneur hanté par les codes énigmatiques se plait à tisser sa toile dans l’ombre. « Je veux sceller des synergies durables entre artistes, institutionnels et mécènes, dans l’esprit qui anima les plus belles heures de l’histoire de l’art en Europe », conclut Caracci, sous le silence inflexible des statues."
 
Par Clara Doïna Schmelck, journaliste franco-roumaine.

Communiqué de Presse de Jean-François Caracci:

"Royaume de Roumanie: Un Prince retrouvé ? "

Par Edoardo Secchi, Président de l'Agence France-Italie.


"
Jean-François Caracci, membre de la puissante famille franco-italienne Caracci, écrit actuellement un livre dont la sortie va être retentissante! Ce livre est: "Royaume de Roumanie avec pour sous titre "Propositions d'un Prince retrouvé". Nous avons décidé de commencer à en parler car le parcours de Jean-François Caracci, vrai en tous points, est unique et nous voulons l'aider à revenir parmi les siens!


Jean-François Caracci parlez nous du "Royaume de Roumanie"!

L'idée du livre Royaume de Roumanie est né de la disparition de la Reine Anne de Roumanie. Cette disparition qui me peine beaucoup me rappelle à quel point je souhaite retourner parmi les miens. La Securitate il y a 35 ans dans une fiche secrète ouverte le jour de ma naissance décida d'y noter que j'étais lié à la Maison royale de Roumanie. sans plus de précision. Je sais donc que je suis un aristocrate roumain de sang. Mais j'ignore les détails de ma naissance, ses conditions, ses enjeux. Ce livre en cours d'écriture me permet de préciser des choses, d'en affirmer d'autres et me permet aussi et surtout d'être visible.


Expliquez nous le fonctionnement de la Monarchie en Roumanie!

Causescu a brisé la Monarchie, a fait partir en exil certaines grandes familles de l'aristocratie et en a fait disparaître beaucoup d'autres. Sous un Régime communiste totalitaire être né Prince, Duc, Comte était une faute que le Régime devait corriger par tous moyens. Et je suis né à ce moment précis. En 1981, Causescu commençait à perdre le contrôle de la Roumanie. Ainsi il accentua les purges, élimina à l'aide la Securitate un tiers des roumains. Une Securitate qui finira par trahir son Maitre et donnera en 1989 les clés de la Révolution à la CIA et à la DGSE.

Vous êtes un aristocrate, c'est un fait entendu, mais avec quel titre de naissance?

J'ai de nombreux amis Députés roumains et journalistes roumains qui m'aident à renouer avec ma propre histoire. Pour eux les conséquences de mes recherches pourraient être vertigineuses! En effet, si la Securitate a vu juste, et elle voyait toujours juste, je suis un Hohenzollern ou un Habsbourg. De ce fait, je pourrais prétendre au trône! Mon visage et ses marqueurs ( fossettes, rides, menton fendu, sourcil broussailleux ...) révèlent un lien physique fort avec la Maison royale de Roumanie. Mon ADN a déjà tranché cette question. Je souhaite être ré-accepté  parmi les miens. En attendant ce jour, je propose d'aider à fonder une Monarchie constitutionnelle afin que les roumains puissent à terme choisir un Roi des Roumains à l'exemple de la Belgique avec Leopold 1er.
"


http://www.clubif.com/fr/royaume-de-roumanie-un-prince-retrouve

jeudi 10 mars 2016

Interview de Jean-François Caracci pour une Agence italienne de Presse:

Chi è Jean-François Caracci ?

Sono nato in Romania, nell’aprile del 1981. Sono un discendente degli ultimi Principi di Transilvania. Sono cresciuto tra il Sud della Francia (Carnon) e il Sud dell’Italia (Castellamarre del Golfo). Ho frequentato una Scuola Superiore del Commercio a Montpellier, Académie des Affaires Internationales, e ho svolto lo stage di fine corso presso l’Organizzazione Mondiale del Commercio di Ginevra.
Sono nipote di Antoine Caracci, defunto miliardario italo francese, noto per aver fondato la più grande Società di Elicotteri d’Europa, Hélico de France, sotto l’egida di Edouard Balladur.
Subito dopo la fine dello stage a Ginevra, ho fondato la Collection Caracci, la prima Società segreta dell’Arte; una Società segreta destinata a trovare il Creatore nella sua Creazione. All’inizio, la Collection Caracci non era una vera e propria attività commerciale, ma solo una società filosofica. Sa, avendo io raggiunto molto giovane il 33esimo grado della Franc Maçonnerie, ero in qualche modo entrato in un altro universo….
Nel tempo sono entrati a far parte di questa Società segreta dell’Arte delle personalità influenti di tutto il mondo, conoscenti stretti della Famiglia Caracci, come l’ex Ministro della Difesa francese Alliot-Marie, il politico italiano e senatore a vita Andreotti, il Ministro rumeno Mihaescu ed hanno voluto seguire il suo corso. Inoltre hanno anche acquistato molte opere che la Società aveva a sua volta comprato. Oggi, non sono più io a dirigere la Collection Caracci…
Ci presenti le Guide des Caracci
Le Guide des Caracci è nato dal consiglio di una mia cliente, una ricca donna d’affari italiana. La Collection Caracci aveva raggiunto il suo obiettivo, dando vita al proprio adagio, Attraverso la Creazione vedere il Creatore, a questo punto bisognava dare un senso a tutto ciò, far entrare Collection Caracci nella Storia dell’Arte. E le Guide des Caracci, in quanto Guida internazionale di investimento nell’Arte, permette di presentare la potenza e la pertinenza della Collection Caracci.
Le Guide des Caracci svela in due tomi ogni anno gli artisti emergenti da acquisire assolutamente, in tutto il mondo. Le Guide des Caracci si impegna fermamente nel presentare questi scultori, fotografi, pittori e disegnatori, dalla Transilvania alla Siberia, passando dalle Alpi. Le Guide des Caracci, edito da Editions du Net, è il libro che svela l’importanza dell’Azione della Collection Caracci…
E l’Accademia dei Caracci?
450 anni fa, a Bologna, i Fratelli Caracci fondarono un’Accademia d’Arte che diventerà in seguito molto celebre in tutto il mondo e che farà dei Fratelli Caracci allo stesso tempo dei Maestri del Rinascimento e dei Maestri dell’Arte Sacra. 450 anni dopo, ho avuto l’idea di rifondare questa Accademia d’Arte attraverso una corrente artistica ed un corrente spirituale, in modo da poter finire ciò che i miei antenati avevano cominciato. I Caracci del Rinascimento sono stati Maestri assoluti dell’Arte Sacra teorizzandola in maniera sublime.
L’Académie des Caracci di Jean-François Caracci ha creato l’idea secondo cui l’arte è sacra nella sua stessa natura. L’azione creatrice dell’Artista si avvicina – quando non si confonde completamente – all’Azione creatrice del Creatore stesso, di Dio. Questa tesi comincia ad essere presentata ne l’Art de Créer, edito dalle Editions du Net. Seguiranno altre opere che svilupperanno questa tesi. Per il momento, l’Académie des Caracci sostiene che l’Arte è sempre esistita nella Storia dell’Uomo. Dalle grotte preistoriche al Rinascimento, passando per l’Antichità, l’Uomo è sempre stato Artista perché è sempre stato Creatore. L’Uomo agisce come il Creatore poiché egli stesso è, di fatto, un Creatore che ambisce a riprendere il controllo della Creazione; l’Albero della Conoscenza è allo stesso tempo il Paradiso e l’Inferno per l’Uomo alla continua ricerca…
Secondo lei, che ruolo occupa oggi la cultura e sotto quale forma?
La cultura è l’identità dell’uomo. La Cultura ( musica, pittura, scultura …) permette all’uomo di sapere da dove viene e dove va. La Cultura è un indicatore. E’ dunque essenziale per l’uomo – come per la società civile – di sviluppare e proteggere la cultura proprio come se la stessa vita fosse in gioco…!
Potrebbe raccontarci del Principato di Transilvania
Sono nato in Transilvania nel 1981. Il mio file presso la Securitate, gli allora Servizi Segreti di Caeusescu, contiene un’informazione sorprendente su di me. Quando avevo appena poche settimane, uno degli Alti Ufficiali della Securitate ha fatto notare che la mia origine avrebbe potuto un giorno causare dei problemi a Ceausescu e che quindi, bisognava assolutamente che io lasciassi il Territorio della Romania comunista senza mai essere informato sulle mie origini. Il mio file è segnato con l’indicazione “Top Secret”, e ciò significa che la mia nascita è – di fatto – un segreto di stato per la Romania. Ho sempre saputo che la mia nascita celava qualche segreto; all’orfanotrofio, le infermiere si occupavano molto di me e mi chiamavano “il mio piccolo principe”.
Bernard Salhi veggente di François Mitterrand e anche di François e Olivia Caracci aveva certificato a questi ultimi che l’orfano che avevano adottato veniva da una discendenza molto particolare… che nelle sue piccole e fragili vene scorreva il sangue dei vecchi Principi di Transilvania. Io mi sento ancora molto vicino alla Romania, tanto più che, nel 2012, sono stato nominato Vice Presidente del Partito Popolare rumeno…
Quali sono i suoi prossimi progetti?
Artisticamente parlando, in dieci anni ho realizzato importanti progetti con la Collezione, La Guida dei Caracci e l’Accademia. Il progetto che adesso mi sta più a cuore è di riconciliarmi con i Caracci. Desidero ristabilire il mio diritto di nascita con la famiglia biologica e magari, chissà, ristabilire il Principato di Transilvania, con o senza me alla sua guida…!